Pantalon Jean moto

Si vous évoluez dans l’univers de la moto, vous avez sans doute entendu parler des jeans BOLID’STER. Le jean de moto a été et demeure le fer de lance de BOLID’STER. C’est pour les motards que nous avons choisi d’utiliser l’Armalith®, toutes les possibilités offertes par cette étoffe magique se sont ensuite étendues à d’autres profils de conquérants.

Né pour équiper les motards, le pantalon jean moto BOLID’STER est authentique, éthique, et utile. C’est un jean qui tient la route et un vêtement parmi les plus fiables au monde. Découvrez pourquoi.

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Un jean pour faire de la moto ?

Est-ce qu’un jean est conçu pour faire de la moto ? Est-ce qu’un tel jean est homologué ? On serait tenté de répondre “oui” à ces deux questions somme toute cornéliennes. La réponse du public est édifiante et révélatrice : 70%* des motards et scooteristes roulent en jean classique. Vous avez bien compris, le jean de moto que les motards ont choisi est un jean normal.

Est-ce à dire qu’un tel jean est suffisamment protecteur pour pratiquer la moto ? Dans 70%* des accidents impliquant un deux roues motorisé, les jambes du pilote sont lacérées et/ou abrasées. La réponse est donc, de toute évidence, non.

Certes, mais alors pourquoi les motards boudent-ils les jeans conçus pour la moto et homologués CE ? Chez BOLID’STER, nous avons identifié clairement plusieurs éléments de réponse.

D’abord, l’adjonction d’une protection contre l’abrasion apporte plus d’épaisseur et plus de poids. Ca tient chaud et casse la ligne stylistique. Et on ne vous parle pas de l’adjonction de protecteurs de choc…c’est encore pire. Quand on quitte la moto, nous n’avons pas tous envie de supporter ce surcroît de poids et de chaleur. Quant à l’homologation CE, elle peut parfois manquer de lisibilité. Mais cela, nous en reparlerons plus tard.

Éventuellement, il pourrait être possible d’atténuer les conséquences d’une chute. Mais le pendant serait alors d’être pénalisé de façon permanente aussi bien sur le confort que sur le look. Donc une protection incertaine mais une pénalisation permanente au niveau du confort et du style.

Voilà pourquoi les motards, à ce jour, choisissent en priorité le jean qu’ils peuvent assumer toute la journée. Si ce jean peut aussi les protéger, c’est un bonus.

Mais attention, cette inversion des priorités ne signifie pas pour autant que les motards sont écervelés. Bien au contraire. Cette inversion est spécifique au pantalon, un motard sait qu’il peut retirer facilement le reste de son équipement quand il arrive à destination (au travail par exemple). Et justement, une fois les gants, le casque et le blouson retirés, il reste une chose, un essentiel : le jean ! C’est de cet essentiel dont nous avons souhaité nous occuper chez BOLID’STER…

Nous avons développé un jean qui protège le motard de façon salvatrice en cas d’accident, mais qui, le reste du temps, sait parfaitement se faire discret, voire apprécier.

Dès lors, voici notre réponse : un jean pour faire de la moto ? Oui, mais pas n’importe lequel. Le jeans est symbole de liberté et les motards sont attachés à leurs libertés

Le pantalon jean moto BOLID’STER : l’union d’un authentique jean et de l’innovation

Le jean de moto BOLID’STER est taillé dans l’Armalith®, une matière révolutionnaire brevetée et qui se diffuse dans l’univers des motards depuis maintenant presque 20 années.

Concrètement, l’Armalith® est un tissu monocouche capable d’offrir une résistance extraordinaire à l’abrasion. L’insertion d’un squelette de fibres aérospatiales permet de créer un rempart contre le goudron sans compromettre l’hydrophilité ou la respirabilité chères à la légende du jean. Le secret de ce denim réside dans un tissage complexe : celui d’une fibre coton et de l’UHMWPE, fibre de haute technologie utilisée notamment dans le secteur spatial et militaire. Cet assemblage unique et breveté permet d’obtenir un tissu qui présente les qualités mécaniques du cuir tout en offrant le confort du jean. Un pantalon en Armalith® offre ainsi une résistance extrême aux accrocs et aux déchirures, il est également insensible aux UV et peut donc préserver toutes ses qualités de façon durable (contrairement aux para aramides I.e Kevlar®)

Si nous souhaitons appliquer les prouesses techniques de l’Armalith® à l’univers de la moto, c’est pour donner à tous les motards une nouvelle indépendance. L’Armalith 2.0 est le seul matériau capable de protéger un motard de l’abrasion, y compris si l’on se réfère à la fameuse norme moto 13595-2 (le seul référentiel ayant la confiance de la FIM et du moto GP). Et cette protection ne va pas sans liberté puisque le jean de moto en Armalith® représente une unique couche de tissu : il protège le motard tout en lui procurant respirabilité, hydrophilité, stretch et superbe indigo, comme pour les plus beaux et authentiques jeans de la creation.

Le pantalon jean moto : la transparence et la pertinence BOLID’STER

Quid de l’homologation, celle que nous avons évoquée plus haut ? 

BOLID’STER a inventé l’Armalith puis l’a mis en open-source de sorte que quiconque souhaite s’emparer de cette innovation, créateur ou marques internationales puisse y avoir accès sans restriction. Nous avons fait celà afin que le plus grand nombre de motards puisse bénéficier de cette technologie et que les créatifs de tous poils puissent s’exprimer sur cette véritable matière à créer. C’est un succès puisque les marques les plus prestigieuses se pressent autour du sujet et adoptent la toile bleue Armalith®. HARLEY DAVIDSON®, TRIUMPH®, DAINESE® ROKKER® ou HELD® utilisent l’ARMALITH® précisément pour passer plus facilement, plus haut et plus fort la norme CE…

Quand nous avons fondé BOLID’STER, la question de l’homologation s’est naturellement posée. Plusieurs aspects nous ont dérangés dans ce processus normatif. Le manque de pertinence d’abord, ensuite passer une norme, cela se monnaye et cela favorise donc naturellement les gros acteurs, au détriment de l’innovation. Enfin, les informations et la communication de la norme CE laissent à penser que le vêtement marqué CE est vraiment efficace contre les risques encourus lors de la pratique de la moto ce qui, selon nous, tend à  infantiliser le motard quand à l’information distillée dans la notice. Dernier grief, l’homologation CE permet à un fabricant de se défausser de ses responsabilités en cas de réclamation suite à un accident où l’équipement ne tiendrait pas ses promesses.

Parlons également de la protection contre les chocs : elle est symbolique. La note obtenue pour l’homologation dépend notamment de la mise en place de protecteurs de chocs : or, nous considérons qu’il est impossible qu’un protecteur de choc absorbe toute l’énergie cinétique lors d’un accident.

Les protections choc insérées dans les vêtements doivent satisfaire à la norme EN 1621 qui impose une absorption d’énergie de 15 joules lors d’un choc en labo de 50 Joules. Le problème est que, lors d’un crash moto à 90Km/h l’énergie cinétique du motard (sans compter sa moto) est de 1000 joules, rendant symboliques les protecteurs de choc homologués CE. De plus l’absorption d’énergie n’est mesurée qu’à la vitesse de percussion de 16 km/h, autrement dit si les caractéristiques du protecteur se dégradent à partir de 20km/h par exemple, et bien ce n’est pas grave, le protecteur est homologué.

A contrario – et si vous avez la chance de ne rencontrer aucun obstacle durant votre chute – un jeans en ARMALITH peut vous protéger TOTALEMENT de l’abrasion sur une longue glissade, y compris le choc abrasif initial totalisant plus de 1000 joules d’absorption d’énergie soit la quasi totalité de l’énergie cinétique emmagasinée par le motard.

Un dernier point qui nous gêne dans l’homologation CE c’est aussi la déresponsabilisation qu’elle implique. Cette homologation se base sur de multiples paramètres et s’érige en norme de sécurité globale (résistance à l’abrasion, absorption des choc, résistance des coutures, déchirure amorcée…) avec parfois même des paramètres qui vont au delà de la sécurité (métaux lourds, ergonomie…) puis, tout cela est mélangé et une formule inconnue, permet de determiner les parametres qui vont compter plus que d’autres pour l’obtention de la note

A, AAou AAA. Pour BOLID’STER cette approche incompréhensible et très difficile à s’approprier par l’intéressé conduit à déresponsabiliser le motard.

C’est compliqué il y a beaucoup de paramètres alors tu te fies à la note A si tu fais de l’urbain, le AA si tu fais de la route et le AAA si tu peux supporter l’épaisseur et la chaleur (et le prix) des équipements”

Par souci de transparence et de réalisme, nous avons choisi de miser sur la résistance à l’abrasion. En effet, nous pensons que c’est la seule mission sécuritaire sérieuse que nous pouvons confier à nos jeans de tous les jours. Nous passons les tests les plus exigeants des deux normes abrasion qui se partagent le monde de la moto, puis nous écrivons simplement les résultats à l’intérieur de nos jeans. Grâce à la norme Cambridge nous avons la résistance à l’abrasion sur goudron sur une distance en mètres et grâce à la norme Darmstadt nous avons une vitesse de chute en Km/h à laquelle le jeans à su résister. Deux chiffres que chaque motard peut comprendre et s’approprier afin de bien être conscient de sa protection (à l’abrasion) et de sa vulnérabilité (aux chocs).

Ainsi, le pantalon jean de moto BOLID’STER reste utile pour tout motard qui tombe. Pour autant, un tel pantalon ne laisse pas croire que, grâce à une homologation, il protège totalement le motard en cas d’accident.

Dire qu’une veste ou un pantalon protègent des chocs ou protègent tout court, BOLID’STER ne peut se résoudre à le revendiquer : nos protecteurs de chocs sont homologués niveau 2 et même haut la main (39 joules d’absorption pour 30 joules exigé) mais nous savons pertinemment que c’est symbolique face aux énergies en jeux lors d’une chute moto au delà de 70km/h par exemple.

Et puis, enfin, il y a l’écologie et les valeurs auxquelles BOLID’STER souhaitent s’associer. Chaque avancée écologique mise en place par BOLID’STER nous a malheureusement éloigné de toute possibilité d’homologation CE. En effet, qu’il s’agisse de fournir les protecteurs de choc en option ou d’éliminer les micro plastiques des étiquettes de composition ou encore d’alléger les emballages chaque point est suffisant pour disqualifier à lui tout seul le dossier d’homologation.

En somme, vous l’avez compris, nos jeans sont hors normes car bien au dessus des normes en ce qui concerne les critères qui comptent vraiment aux yeux de ceux qui aiment porter des jeans à moto. Pour autant il faut se souvenir que les motards souhaitent porter des jeans afin, justement, de ne pas ressembler à des motards, alors que dire des cyclistes, des skaters, BMX et autres Parkours riders ? Vous pensez que les jeans BOLID’STER continuraient de leur plaire s’ ils étaient alourdis, re carbonés et…homologués CE moto ?

*Etude accidentologie moto MAIDS réalisée selon les normes de l’OCDE

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