Kévin Dufourg : Stunt Rider et pilote d’essai du RIDE’STER II

Articles, Test de Jeans

Nous sommes fiers de vous présenter notre nouvel athlète dans la Team Kévin Dufourg. Pratiquant de Stunt, Kévin est notre pilote d’essai pour le RIDE’STER II. Il le teste maintenant depuis quelques mois. Et nous raconte tout sur lui, sa discipline et son ressenti par rapport au RIDE’STER II.

INTERVIEW DE KEVIN DUFOURG

Kevin Dufourg Stunt Rider

Peux tu te présenter rapidement? 

Je m’appelle Kévin Dufourg, j’ai 30 ans. Je vis au Pays Basque à Saint Jean de Luz dans le Sud Ouest de la France. Passionné de moto, je pratique le Stunt depuis une dizaine d’années. 

Peux tu nous parler de ta discipline le Stunt? Qu’est ce que c’est? En quoi ça consiste? 

Le Stunt est une discipline freestyle internationale qui consiste à effectuer différentes acrobaties sur une moto de plus ou moins grosse cylindrée. Au début ça part d’un délire entre potes, où on se regroupait sur une ligne droite (hors circulation) ou un parking le week-end pour apprendre à maitriser la moto dans différentes situations (roues arrière, roue avant, burn …). Et puis, au fil du temps, les motos ont évolué et ont permis de pousser la discipline très loin. Aujourd’hui, le Stunt possède ses compétitions, qui peuvent se comparer à celle du patinage d’un point de vue notation. On passe devant un jury où on a 3 minutes pour effectuer un run. Puis on est noté sur la qualité du run, la difficulté, l’agressivité, le style et l’exécution. 

De quoi as-tu besoin pour pratiquer le Stunt? Est ce qu’il y a des équipements spéciaux? 

Les motos Stunt sont entièrement modifiées pour la pratique. Le plus important c’est d’avoir de bonnes protections appelées crash bar qui permettent de relever la moto sans dommage après une chute et de poursuivre l’entrainement. Ensuite on ajoute un deuxième levier de frein arrière sous l’embrayage qui permet de maitriser la moto lorsque qu’on n’a pas accès à celui d’origine. La transmission est remplacée par une plus courte (grosse couronne et petit pignon). Le réservoir est formé de façon à ce qu’on puisse évoluer dessus facilement. Voila pour les principales modifications sur la moto. Mais chaque pilote à ses astuces et ses préférences. Tout comme la moto, le pilote se doit donc d’être bien protégé. La chute est inévitable pour évoluer donc il faut être protégé au mieux si on veut se relever : casque intégral, gants, dorsale, pantalon. 

Où est ce que tu pratiques le Stunt? 

Aujourd’hui, c’est très difficile de trouver un endroit ou s’entrainer, car il n’existe pas de lieux spécialement dédiés à la discipline. Donc je suis souvent à la recherche de nouveaux spots ou je peux continuer à progresser sans déranger. Actuellement, je m’entraine tous les week-ends dans les landes où j’ai trouvé un petit parking fermé à la circulation où je dérange personne. 

Qu’est ce que tu aimes dans le Stunt? 

Ce que j’aime le plus dans le Stunt, c’est le sens du partage. En France, on est une petite communauté de Stunteur et on se connaît quasiment tous grâce aux réseaux sociaux et aux rassemblements. Ceux qui rends les échanges beaucoup plus simple. Si on a un souci sur une moto, ou si on a du mal à rentrer un nouveau trick, il y aura toujours un Stunteur qui nous viendra en aide. 

Quelle est ta plus grande satisfaction quand tu rides? 

Quand je ride, je me sens libre. Je pense uniquement à ce que je fais et à rien d’autre. Le Stunt m’a permis de rencontrer énormément de personnes connues ou pas qui aujourd’hui font parti de mon entourage.

Comment as-tu connu BOLID’STER ? 

J’ai entendu parler de BOLID’STER en premier sur les réseaux. Cette nouvelle matière quasiment indestructible, a attiré ma curiosité. Je me suis donc renseigné jusqu’à ce que Rémi un copain (rider longskate) déjà sponsorisé par BOLID’STER me donne son ressenti. Pour lui, ces nouveaux jeans sont révolutionnaires. Par la suite, il m’a présenté le patron qui m’a raconté toute l’histoire de cette fameuse matière et me voici aujourd’hui dans la TEAM BOLID’STER.

Cela fait maintenant plusieurs semaines que tu ride le RIDE’STER II qu’en penses tu ? Qu’est ce qui te plait le plus avec le RIDE’STER II? 

Avant le RIDE’STER, je portais des jeans basiques que je changeais une fois par mois à cause des chutes. Le moindre contact avec le bitume déchirait le jeans instantanément. Voila deux mois maintenant que je porte le RIDE’STER II et pas un accro. La matière est incroyable, je l’ai testé en drift avec le genou posé au sol et le jeans a juste perdu un peu de sa couleur. Le RIDE’STER en plus d’être solide, il est très léger et s’assouplie rapidement. Ce qui me permet de passer les figures qui me demandent de la souplesse sans me bloquer. Le RIDE’STER II est bien pensé de A à Z, c’est du ” MADE IN FRANCE”. D’ailleurs, le moindre détail est soigné et les protections amovibles à l’intérieur du jean ne se sentent même pas. Ce qui me plait le plus avec le RIDE’STER II c’est que son usage ne se réserve pas uniquement à la moto ou aux sports extrêmes. En effet, sa coupe et sa légèreté  permettent de le porter au quotidien sans gêne.

Kevin Dufourg Stunt Rider

Que fais-tu de tes journées, quand tu ne fais pas de Stunt ? 

Quand je ne roule pas, je bricole ma moto pour qu’elle soit prête pour la prochaine session. Un Stunteur se doit donc d’être bricoleur car comme je l’ai dit, la chute fait parti de la discipline. Effectivement, rare sont les Stunteurs qui arrivent à vivre de leur passion, donc j’ai aussi un boulot en plus de ma passion. Je suis agent de maitrise peinture aéronautique.  

Quels sont tes projets pour 2019 ? 

Pour 2019, j’ai pour projet de sortir quelques vidéos. Je vais également participer à des rassemblements et si j’arrive à travailler sur un run propre pourquoi pas faire un peu de compétition. De plus, quelques dates de shows viendront compléter le planning mais une chose est sur, je ne vais pas m’ennuyer. 

Un mot à rajouter? 

Bon ride a tous, enjoy your life.