Pour beaucoup de motards, le offroad est la définition même de la liberté. Si bien sûr cette discipline regroupe en vérité des tas de sous-disciplines, plus ou moins physiques, et plus ou moins contemplatives, le offroad incarne une unique volonté : celle de sortir des sentiers battus, de tourner le guidon pour quitter le goudron, à la conquête de nouveaux horizons.
Les équipes de BOLID’STER sont allées à la rencontre d’un homme épris de moto, mais aussi de paysages : Jérémy, webdesigner, mais également roadtripper.
Mon activité sur les réseaux sociaux prend de plus en plus de volume. Mais au départ, tout a commencé avec une collaboration avec un équipementier, séduit par les photos que j’avais alors prises. J’ai ensuite évolué vers d’autres partenaires de l’univers moto, autant équipement que moto et pilote. J’ai pu voyager en Écosse, en Irlande, dans les déserts d’Espagne et sur une grande partie de la France. Bien sûr, voyager à travers le monde entier reste un rêve…
Le reste du temps, je suis webdesigner dans une agence de sites e-commerce et j’ai également été photographe pendant 6 années.
En offroad il y a plusieurs façons d’envisager les choses. Il y a d’abord les motards qui pratiquent l’enduro : d’emblée on part sur un autre niveau où on parle de franchissement de dunes de terre, c’est une discipline très physique. La moto que j’utilise n’est pas adaptée à ce type de pratique. Pour autant, je suis de nature assez têtu, j’aime me mettre au défi et ça ne me dérange pas d’aller dans des lieux un peu tendus !
Parfois, on trouve des chemins qui permettent de parcourir la forêt ou de passer des montagnes. En Espagne, traverser des déserts c’est une drôle de liberté, car on se retrouve au milieu de nulle part, sans aucun réseau. C’est une nouvelle pression qui s’installe, celle de se dire : si j’ai un problème, que se passe-t-il ? En pratique offroad c’est vraiment une adrénaline supplémentaire !
À l’inverse, quand j’ai fait de grandes expéditions comme en Écosse, je n’ai rencontré aucun stress à parcourir des routes sans avoir de réseau, comme ça peut être le cas sur l’île de Skye. Cela fait plus de 10 ans que je suis à l’aise sur le goudron, je pratique l’offroad depuis 2 ans et chacune des expériences que j’ai vécues m’a profondément marqué.
Le confort est primordial. Pendant longtemps j’avais beaucoup de soucis avec les pantalons que je portais, en kevlar, très épais, difficile à plier et peu adaptés à certaines contraintes. Ça fait mal au niveau de la peau et des articulations, c’est inconfortable quand il fait chaud. Un blouson, quand il fait chaud, on peut facilement l’ouvrir, ça n’est pas la même affaire avec un pantalon !
Après avoir rencontré tous ces problèmes, j’ai testé les jeans BOLID’STER et…ils sont vraiment géniaux. Cela peut être un peu vulgaire de dire les choses ainsi, mais, ils sont tellement plus pratiques. On sent que c’est moins épais, qu’on a plus de liberté pour descendre de la moto, que l’on fait moins d’effort si on tombe et qu’il faut relever la bécane. On prête moins d’attention au moindre de nos mouvements. Avec le kevlar, il fallait un certain temps de roulage pour commencer à être à l’aise et pourtant, en offroad, on travaille beaucoup avec les jambes, il faut donc être confort dans ses mouvements.
Le style est hyper important pour moi. Parce que je fais de la photo, j’essaye d’avoir toujours un style soigné sur les motos. Or, les jeans BOLID’STER sont beaux.
Je fais du sport en salle trois fois par semaine et j’embarque mon équipement sur ma moto. Je mets automatiquement mon jean BOLID’STER, car, même si j’ai eu une réunion avant, personne ne voit que c’est un jean de moto ! Je le vante même à mes collègues en leur expliquant la résistance à l’abrasion.
J’ai heureusement chuté peu de fois, et été surtout touché au niveau du haut du corps. Pour protéger les jambes, je mise tout sur le jean BOLID’STER. J’ai choisi le HIP’STER LIGHT, car j’aime adapter mon jean en fonction de mon utilisation. Sur les petites routes avec des virages, le HIP’STER est le plus adapté. J’adore les courbes et évidemment ça peut être dangereux, mais je suis toujours rassuré, car je porte un jean adapté.
La fureur de vivre !